by Maison et Energie | 26/09/2017 14 h 29 min
Problématique fréquemment rencontrée sur les installations de chauffage central y compris neuves, les bruits de chaudière – dits de bouillonnement – peuvent rapidement perturber la tranquillité et le confort des occupants d’un logement. Egalement synonymes de perte de rendement de l’installation et donc de gaspillage énergétique, ces nuisances sonores peuvent aussi constituer des signes avant-coureurs de mauvais fonctionnements et de futures pannes onéreuses.
Revendiquant une expertise depuis 1988, Sentinel possède des réponses simples à mettre en œuvre pour mettre fin à ces désagréments, tout en optimisant le rendement et la durée de vie de l’installation. A faible empreinte carbone et biodégradables, les produits de la marque sont sans danger et non toxiques pour l’homme et son environnement.
Les bruits de chaudière proviennent généralement d’une surchauffe localisée de l’eau, qui entraîne la production de vapeur d’eau. A une vitesse trop faible, l’eau, en contact avec le métal de l’échangeur thermique, frémit ou bout, en générant des bulles de vapeur. Lorsque celles-ci atteignent l’eau du refroidisseur, à l’écart de la surface de l’échangeur de chaleur, les bulles éclatent bruyamment. D’ailleurs, plus l’eau est froide, plus le choc thermique s’avère important et donc le bruit élevé.
Parfaitement identifiés, de multiples facteurs « chimiques » ou « mécaniques » donnent naissance à cet effet de choc thermique. Les facteurs mécaniques peuvent aussi bien concerner la pression du brûleur au gaz, les réglages de débit, le thermostat de la chaudière, les vannes thermostatiques des radiateurs ou bien encore les dissipateurs thermiques et défauts de fonte.
Deux autres facteurs, chimiques cette fois, peuvent également générer ces bruits : la mousse ou les dépôts de corrosion et de calcaire (tartre). Produite par un certain nombre d’éléments, comme un excès de résidus de flux de brasage, de matières en suspension ou d’autres contaminants, la mousse dans l’eau de l’installation réduit le contact entre l’eau et l’échangeur, provoquant inéluctablement la surchauffe. Autre cause chimique, l’entartrage. En France, on considère que la dureté élevée de l’eau impacte près de 85% de nos concitoyens. Dissous dans l’eau à température ambiante, ces composés chimiques se précipitent sous l’effet de la chaleur, pour former des dépôts de calcaire sur le rotor du circulateur et aux endroits les plus chauds de l’installation, comme par exemple à la surface de l’échangeur. Notons de plus qu’il est reconnu qu’un dépôt de calcaire d’une épaisseur de 1 mm augmente de 10% la consommation de combustible, soit jusqu’à 150 € par an sur la facture énergétique d’une maison individuelle.
Sentinel développe les bonnes pratiques pour nettoyer, protéger, préserver les installations de chauffage avec des solutions adaptées à chaque besoin et à chaque étape ; une garantie de pérennité et de performance dans le temps des équipements. A pH neutre, non acides, non toxiques, biodégradables et développés pour tous types de matériaux de métaux et d’alliages communément utilisés, y compris l’aluminium, les produits Sentinel s’avèrent sans risques pour le système, même en cas de surdosage. Mises en œuvre par des professionnels, les produits Sentinel constituent des solutions pratiques pour optimiser le fonctionnement de l’installation.
L’inhibiteur Sentinel X100, contenant un mélange unique d’inhibiteurs de corrosion spécialisés et puissants, se destine à la protection contre la corrosion de tous les métaux. Intégrant également une technologie spécialement formulée pour contrôler le calcaire et plusieurs systèmes maintenant la stabilité du pH et le dégagement d’hydrogène, le Sentinel X100 convient à tous les types d’eau, y compris celle traitée par un adoucisseur. Son introduction dans le circuit de chauffage assure une efficacité de service optimale, une plus grande longévité du système, tout en évitant les pannes et en conservant les garanties intactes de la chaudière, sans compter sur un confort accru et des économies d’énergies.
Destiné aux circuits primaires des installations de chauffage central, simple et double service, le traitement anticalcaire et réducteur de bruit Sentinel X200 quant à lui, va mettre en suspension les dépôts de tartre sur la surface de l’échangeur et contribuer à restaurer le rendement de l’installation. En complément d’un nettoyage préalable (X300 pour les nouvelles installations et X400 ou X800 pour celles de plus de 6 mois), le réducteur de bruit Sentinel X200, non acide et non corrosif, est compatible avec tous les matériaux, métaux et alliages, y compris l’aluminium et matière synthétique. L’action puissante du Sentinel X200, toujours combinée à l’utilisation de l’inhibiteur X100 ou X500 (antigel avec inhibiteurs de corrosion), prend quelques temps, en fonction de l’importance du problème et qu’un litre de X200 suffit pour traiter une installation domestique classique jusqu’à 10 radiateurs.
Les solutions Sentinel X100 et X200 se déclinent en différents conditionnements (bidon 1 L, jerrican 20 L, concentré en 275 mL, aérosol Rapid-Dose en 400 mL).
O.R.[4]
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